Nous retrouvons Carole, qui se confie au sujet de son parcours professionnel dont elle n’est plus très sûre et de son expérience avec le bilan de compétences. Nous l’appellerons ainsi par respect de l’anonymat.
Cela fait 13 ans que Carole est adjointe de direction, au sein d’une association spécialisée dans le développement durable. C’est un domaine auquel elle porte un intérêt particulier, mais son envie de découvrir d’autres horizons l’a poussée à effectuer un bilan de compétences. Aujourd’hui, elle se tourne vers nous afin de nous conter son parcours.
Carole et comme beaucoup d’autres, ne trouvent ni le courage ni la confiance en soi pour se réorienter. Mais c’est en début d’année que tout change pour notre interlocutrice. Après avoir vécu un épisode conflictuel avec la direction de sa structure, elle décide d’écouter son cœur et sa raison.
La fatigue se ressent dans ses mots, mais sa détermination à vouloir s’épanouir revient au galop.
Un travail d’investigation commence et le manque de temps est une contrainte que Carole tente coûte que coûte de vaincre. Son bilan de compétences, elle le voit différemment: comme une occasion de s’interroger, de se repositionner afin “d’y voir plus clair”.
Le consultant est donc important dans l’accompagnement. Or, il ne peut répondre à toutes les questions. C’est pourquoi, elle précise qu’un bilan demande un vrai travail personnel, une part de soi.
À la fin de notre échange, Carole nous parle de son avenir. Elle sait que certains domaines, comme le développement durable, pourront répondre à ses critères et ses besoins. Le travail sédentaire devient pesant pour elle. Désormais, Carole cherche à s’accomplir dans un emploi plus polyvalent, plus libre.
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